L’affirmation autochtone de l’Université d’Ottawa peut être consultée ici, mais nous, le comité organisateur du SJPD, aimerions également partager nos réflexions en ce qui concerne la reconnaissance de la terre que nous appelons notre foyer.
Nous tenons à rendre hommage au territoire non cédé des peuples Algonquins Anishinaabe, qui sont depuis longtemps les gardiennes et les gardiens de cette belle terre que nous appelons Ottawa. Nous remercions le peuple algonquin de s’être si bien occupé de ces terres aujourd’hui et bien avant aujourd’hui. Les terres nous ont fourni de la nourriture, de l’eau et de l’air pour nous permettre d’apprendre individuellement et collectivement. En tant qu’éducatrices et éducateurs, nous avons la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les générations futures respectent la terre dans laquelle nous vivons, travaillons, jouons et étudions.
Nous reconnaissons notre responsabilité d’amplifier les voix et les pratiques qui recherchent l’équité, et d’agir en tant qu’agentes et agents de changement dans l’éducation. Nous ne pouvons tout simplement pas respecter la terre que nous occupons si nous ne respectons pas tous ses habitantes et habitants. Ainsi, nous nous efforçons continuellement de faire du Symposium un espace sûr et accueillant pour tous les individus, offrant aux participantes et participants un espace d’apprentissage, de discussion et de débat respectueux. Nous reconnaissons également qu’il existe de multiples façons d’apprendre et de savoir, et le comité organisateur a l’intention de continuer à apprendre et à collaborer avec la communauté de la Faculté d’éducation afin que le symposium puisse continuer à s’améliorer.